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    Recette Financiers aux amandes

    • Préparation : 20 mn
    • Cuisson : 15 mn
    • Repos : 0 mn
    • Temps total : 35 mn
     

    Préparation Financiers aux amandes

     

    1Faire fondre le beurre et le laisser refroidir. 

    2Mélanger le sucre, la farine et la poudre de noisettes. 

    3Ajouter les blancs d'oeufs et mélanger. 

    4Enfin, incorporer le beurre à la préparation. 

    5Préchauffer le four 200°C (thermostat 6-7). Verser la pâte dans des moules sans trop les remplir. 

    6Faire cuire 15 à 20 minutes, (cela dépend du four ainsi que la taille des gâteaux). Les financiers sont cuits losqu'ils ont une belle couleur dorée et qu'une lame insérée en ressort sèche. 

     

    Pour finir... C'est une recette idéale pour utiliser des blancs d'oeufs.

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    Personnalité et trouble

    Ce que l’on appelle schizoïde c’est avant tout un type de personnalité, un type de comportement permanent.

    Cette personnalité possède certains traits particuliers qui sont décrits dans le DSM-IV et le CIM-10.

    Certains experts disent que le mot trouble n’est pas approprié, mais s’il y a quelqu’un à prendre ce mot,

    il est le schizoïde de degré élevé.

    1-    Les différents degrés de la personnalité schizoïde

    Etre schizoïde n’est pas une simple question de oui ou non, de tout ou rien.

    Chaque trait de personnalité a son grade. Par exemple, l’anhédonie peut être légère ou peut être presque totale

    dans les cas graves.   Le schizoïde peut être intense ou s’écarter quelque chose des critères établis et être schizoïde moyen

     ou leger. Trois degrés peuvent être établis : LEGER,   MOYEN ,  INTENSE.

    Les schizoïdes intenses ils sont sur la frontière de la schizophrénie et les schizoïdes faibles ils sont sur la frontière de la normalité.

    2- Troubles associés au stress

    Le stress se produit lors de situations au cours desquelles le sujet se dit : “Je dois faire une chose que je ne peux pas

    et je sens que ça me déborde “ Cette situation affecte de façon négative l’individu ainsi que son état physique et psychique.

    Le schizoïde n’a pas en lui, de recours suffisants pour aller au devant des problèmes relatifs

     au monde du travail et au monde personnel de la façon dont la famille, les amis et la société attendraient qu’il le fasse.

     Le schizoïde est submergé par le stress. Le stress produit chez tout individu les effets suivants :

    1-Anxiété  2-Troubles somatiques  3-Dysthymie et dépression  4-Brefs épisodes psychotiques 5-Crise de dépersonnalisation et de déréalisation

    Les troubles somatiques les plus fréquents sont des troubles d’ordres digestifs.

    La dysthymie est une forme atténuée de la dépression, moins intense mais chronique .

    Les symptômes les plus caractéristiques des psychoses sont les délires et les hallucinations.

     On appelle épisode psychotique  une hallucination ou un délire de courte durée et cela peut affecter en principe

    n’importe quelle personne soumise au stress.

    Le stress que subit la personne schizoïde  le rend propice aux troubles associés à celui-ci .

    Ces troubles sont des troubles dus au stress et non des troubles de la personnalité .

    Le schizoïde est accompagné par le stress et ce dernier est accompagné des troubles mentionnés plus haut .

    3- Une interprétation psychanalytique

    La psychanalyse fait valoir que l'absence de liens à l’origine c’est la cause de la solitude schizoïde.

    Balint est un psychanalyste, qui dans son ouvrage “Le défaut fondamental”, donne une tentative d’explication concernant

     l’origine du comportement du schizoïde.

    Le défaut en question se situe dans la structure psychique du bébé, celle dont la mère a eu la charge et la responsabilité.

    Il s’agirait d’un manque d’empathie, c'est-à-dire qu’il y aurait eu un manque d’empathie entre la mère et le bébé et entre

     l’environnement et le bébé ; ce qui serait à l’origine d’une perturbation de son moi.  Le sujet aurait donc été victime

     d’un manque d’empathie.

    Au cours de son développement, le sujet aura des manques d’empathie qui vont se répercuter dans ses autres relations .

    La relation que le sujet a avec une autre personne provient de la relation qu’il a préalablement établi avec la mère.

    Au travers de ses nouvelles relations, le sujet reproduit la première relation qu’il a eue avec la mère et de cette manière,

     se reproduisent les manques d’empathie desquelles il fut victime étant bébé.

    4- Hérédité et milieu environnemental

    De récentes études en Biologie traitent cette question ainsi :

    au départ la pathologie est dans nos gènes , sans lesquels n’apparaîtrait pas le comportement qui y correspond .

    Mais les gènes sont latents, ils n’ont pas la capacité de s’activer eux-mêmes : c’est le milieu environnemental

    qui active le gène et donc en résulte le comportement qui y correspond. Si le « signal » n’apparaît pas,

    le gène ne s’activera pas ; il continuera à être latent : tout dépend donc du milieu.

    D’autre part, tout dépend des gènes, sans lesquels le milieu ne génèrerait pas de façon permanente le comportement en question.

    Pour compliquer le tableau, la nouvelle science de l’Épigénétique, a trouvé que quelques gènes

    peuvent être inhibés. Certaines substances, lorsqu’elles sont en contact avec des certains gènes,

    inhibent au gène, qui reste latent. Ce phénomène peut avoir lieu dans le sein maternel.

    Ainsi et dans ces cas l’héritage génétique initial n’arrive pas  à être activé dans sa totalité.

    Ils sont importantes les expériences précoces en tant qu’activatrices favorables ou non, des gènes et les donners

     du milieu environnemental qui active ces gènes.

    La confusion qui en résulte peut donc s’expliquer par les raisons décrites ci-dessus

    Normalement, il arrive que ce soient les parents qui à la fois sont les donneurs des gènes et du milieu environnemental,

    activateur de ceux-ci.

    5- Entre la normalité et la schizophrénie

    L’espace compris entre la introversion-normalité et la schizophrénie est occupé par ces trois groupes :

    oooo Les schizotypals 

    oooo Les évitantes 

    oooo Les schizoïdes  (Cette web page est consacrée seulement à les schizoïdes)

    Depuis l’introversion jusqu’à la schizophrénie on peut tracer une ligne continue depuis le plus petit au plus grande.

    Les schizoïdes ( et les groupes mentionnés), sont dans l’espace intermédiaire.

    Les schizoïdes les plus hautes ils sont près de la schizophrénie et peuvent partager les symptômes schizophrènes dits passifs :

    ---- anhédonie

    ----émoussement affectif

     ----apathie

    Les schizoïdes à niveau inférieur ils sont près de la normalité et ils ont moins des difficultés pour s’intégrer dans la société. 
    6- Compensations ou ré-équilibres

    Nous pouvons observer dans le schizoïde que, spontanément, il établit dans sa vie quelques compensations.

     Il semble que ces compensations ils cherchent à obtenir un certain rééquilibre.

    A- INACTIVITÉ-ACTIVITÉ  Le schizoïde est caractérisée comme personne non active, parfois passive et parfois apathique.

    Par compensation il développe  une vie intérieure riche, productive, parfois créative.

     Contre inactivité extérieure, activité intérieure.

    B-ÉCHEC-POUVOIR  Le schizoïde il ne réussit pas à être une personne heureusement adaptée au monde environnant.

    Cet échec global est composé de beaucoup des échecs partiels. Par compensation, il active une constante chaîne

    de divagations fantaisistes de pouvoir. Il jouit comm’il peut de la frénésie du pouvoir pour se compenser de l’amertume de l’échec.

    C-HUMILIATIONS-VENGEANCE  Le schizoïde, qui en lui-même est personne sensible, il se montre indifférent dans la vie réelle.

    Il est quelquefois gêné par les circonstances mais les expériences les plus offensives sont les personnelles.

    Dans ses divagations fantaisistes il tente de compenser sa humiliation constant

    dans la vie réelle, en imaginant histoires de vengeance. Et ainsi il jouit le plaisir  de la vengeance. Il ne peut pas faire plus.

    D- SENSIBILITÉ-INSENSIBILITÉ

    Dans la vie réele il est froid et insensible. Dans l’intimité, il peut être sensible et charmant.

    E- DETACHEMENT-APPARTENANCE  Il traverse la vie comm’un déraciné, détaché et délié de tout le monde.

    Intimement il a activée une besoin permanente d’appartenir à quelque chose, à quelque groupe.

    Le détachement laisse un vide. Le schizoïde essaie de remplir ce vide avec de l’appartenance, devenu

    un besoin : le besoin d’appartenance.


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    Comment la schizophrénie intervient t-elle chez un individu ?

    Je cherche comment la skyzophrénie pourrait être décelée chez un homme par divers moyens. A t-elle des différences, des grades successifs, et comment en aténuer les effets chez un homme jeune ?

     

    C’est une psychose, c’est à dire une maladie où l’individu a perdu tout contact avec la réalité et n’a donc pas conscience de souffrir d’un trouble mental

    Le terme schizophrénie vient du grec skhizô, « je divise » et « phrên », esprit. Il désigne tous les états mentaux qui présentent comme caractère essentiel la rupture de l’unité psychique du sujet. Ceci se traduit par une dissociation entre l’idée, le comportement, et la teneur affective contenus normalement de façon harmonique dans un même moment (exemple : raconter la mort d’un proche en riant). 


    Cette pathologie touche 1% de la population, avec une légère préférence pour les garçons. La majorité des cas apparaissent entre 15 et 35 ans.

    Quels sont les symptômes d’une schizophrénie ?

    Les psychiatres répertorient deux grands types de symptômes dans cette maladie :

    - Des symptômes liés au délire, dits « positifs » : 

    par exemple des idées délirantes de persécution, des hallucinations auditives, des angoisses de transformations corporelles, des crises d’agitation. - Des symptômes dits « négatifs » qui sont liés à une baisse des capacités physiques et psychiques : 

    par exemple une tendance au repli sur soi et au retrait social pour se réfugier dans un monde intérieur ; des difficultés de concentration, d’attention et un appauvrissement du discours.

    Selon les symptômes présentés par les patients, il existerait au moins sept formes cliniques de schizophrénie. Ainsi, les psychiatres préfèrent utiliser le terme « schizophrénies » au pluriel plutôt qu’au singulier.

    Les sept formes principales de schizophrénie

    1) La schizophrénie simple. Les symptômes négatifs sont au premier plan : appauvrissement des relations socioprofessionnelles, tendance à l’isolement et au repli autistique dans un monde intérieur. Il y a peu ou pas de symptômes délirants.

    Cette forme évolue lentement mais très souvent vers un déficit de plus en plus marqué.

    2) La schizophrénie paranoïde. C’est la forme la plus fréquente de schizophrénie. Le délire domine le tableau clinique et répond le plus souvent aux traitements antipsychotiques.

    3) La schizophrénie hébéphrénique. La dissociation de l’unité psychique du sujet est prédominante. C’est la forme la plus résistante aux thérapeutiques. 

    4) La schizophrénie catatonique. Le patient est comme figé physiquement et conserve les attitudes qu’on lui impose, comme une poupée de cire. Il est enfermé dans un mutisme ou répète toujours les mêmes phrases. Actuellement, cette forme se traite et est donc rarement définitive.

    5) La schizophrénie dysthymique. Les accès aigus ont la particularité d’être accompagnés de symptômes dépressifs, avec risque suicidaire, ou au contraire de symptômes maniaques. Ces formes répondent au moins en partie aux traitements par lithium. 

    6) La schizophrénie pseudonévrotique. Elle associe des symptômes de schizophrénie et des symptômes importants de névrose (hystérique, phobique, anxieuse ou obsessionnelle).

    7) La shizophrénie pseudo-psychopathique ou « héboïdophrénique ». Il coexiste des passages à l’acte très violents et des symptômes dissociatifs comme une grande froideur affective.
    Comment débute une schizophrénie ?

    Le début peut être brutal par un premier épisode délirant. Mais ce peut être plus insidieux avec un fléchissement de l’activité du sujet et une baisse du niveau scolaire ou professionnel. Il peut s’agir également d’une modification progressive de l’affectivité et de la personnalité, ou d’un attrait pour des activités étranges, ou de troubles du comportement, ou encore d’un isolement social progressif. 

    Une maladie aux causes multiples

    Il y aurait trois grands types de facteurs de risque : génético-biologiques, environnementaux précoces (comme des complications à la naissance ou une infection pendant la grossesse), et environnementaux tardifs (comme la consommation de cannabis ou certaines difficultés communicationnelles familiales). 

    Ces trois types de facteurs de risque favoriseraient la survenue de la maladie en agissant de manière indépendante mais aussi entre eux. Les psychiatres développent depuis une trentaine d’année cette notion de vulnérabilité multifactorielle à la schizophrénie, plutôt que d’envisager un tout biologique ou un tout psychoéducatif. 
    Docteur F. Duncuing-Butlen le 20/09/2006 

    Le traitement de la maladie est multidisciplinaire 

    -Médicamenteux : les neuroleptiques, qui agissent au niveau cérébral sur les neurotransmetteurs impliqués dans la schizophrénie (dopamine, sérotonine)

    -Psychothérapeutique 

    -Social : une grande importance est donné aux mesures d’aide à l’insertion socioprofessionnelle 

    Evolution de la maladie

    Tout peut se voir depuis une insertion socioprofessionnelle et familiale de qualité jusqu’à une absence totale d’indépendance. Dans les formes les plus graves, le maintien à vie dans une institution psychiatrique peut s’avérer nécessaire.

    Quelques chiffres

    25% des patients évolueraient vers une guérison, 25 % vers une forme grave de la maladie et

    50% auraient une forme intermédiaire avec un retentissement variable sur les domaines socioprofessionnels et familiaux. 

    La schizophrénie est une maladie du cerveau qui affecte sévèrement la pensée, la vie émotionnelle et le comportement général de celui qui en est atteint. 

    Le diagnostic même de schizophrénie n’est pas évident parce que cette maladie n’est probablement pas un trouble unitaire et que nous n’en connaissons pas clairement les causes. Actuellement, il n’existe pas d’examens qui permettent de poser le diagnostique de schizophrénie avec certitude. 

    L’avenir des patients dépend beaucoup de l’environnement sociofamilial et de la précocité de la prise en charge.

    Il convient d’aller consulter un psychiatre en cas de survenue, chez un adolescent ou un jeune adulte, de plusieurs des symptômes évoqués dans cette fiche. Ceci est d’autant plus vrai s’il existe, dans la famille, d’autres personnes atteintes de troubles psychiatriques.

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    Canicule : un pic d'ozone attendu dimanche

    vendredi 17 août 2012, 17:17

    Les températures caniculaires et un ensoleillement intense stimuleront la formation d'ozone. Le seuil d'ozone sera probablement dépassé dimanche.

    Canicule : un pic d'ozone attendu dimanche

    © Belga

    Le prochain week-end sera marqué par une chaleur intense, un ensoleillement généreux et un vent faible. Des conditions idéales pour la formation d'ozone qui s'accentuera de jour en jour, indique vendredi la Cellule Interrégionale de l'Environnement (Celine).

    Les concentrations en ozone seront particulièrement élevées dimanche et le seuil européen d'information pour l'ozone de 180 µg/m3 sera probablement dépassé. Le seuil d'alerte, lui, ne devrait pas être dépassé mais tout dépendra de l'intensité du vent.

    Un dépassement du seuil européen d'information peut provoquer des désagréments pour les personnes souffrant de problèmes respiratoires, les personnes âgées et les enfants. Le seuil d'alerte (240 microgrammes/m3) est un signal pour l'ensemble de la population.

    « Des pointes jusqu'à 140-150 µg/m3 »

    « Vendredi, la couverture nuageuse présente en matinée sur une large moitié nord tempérait la formation d'ozone. Les valeurs maximales évoluaient généralement entre 100 et 130 µg/m3, avec localement des pointes jusqu'à 140-150 µg/m3 », commentait Celine sur son site internet.

    Samedi, la Cellule s'attend à des concentrations maximales d'ozone comprises généralement entre 120 et 150 µg/m3. Localement, les concentrations pourront s'approcher, voire dépasser, le seuil de 180 µg/m3. Les concentrations les plus élevées sont attendues dans la moitié nord du pays.

    Les niveaux d'ozone en baisse dès lundi

    Le dernier jour du week-end, la chaleur persistante et la faible présence de nuages feront encore grimper les niveaux d'ozone de 20 µg/m3 environ par rapport à samedi, pour monter jusqu'à 180-200 µg/m3 localement.

    Ces niveaux de concentration devraient repartir à la baisse en début de semaine prochaine avec le recul des températures et un temps plus variable.


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