• Dur, dur le retour de vacances ?

    Dur, dur le retour de vacances ?

    Pas la forme, pas le moral... Vous êtes parti(e) en juillet ? Et si c'était le syndrome post-vacances ? Ne vous laissez pas abattre ! Cette légère déprime qui touche environ 35% des jeunes adultes à leur retour de vacances n'est que passagère... Quelques conseils simples vous permettront de mieux lui tordre le cou.

    Quand le retour des vacances est déprimant

    Vous avez chanté tout l'été… et vous voilà bien démuni une fois que sonne l'heure du retour des vacances. Et pour cause : les vacances, on en parle pendant des mois, on s'y prépare physiquement, psychologiquement, financièrement… et on a à peine le temps de poser ses valises que c'est déjà fini. Plus dure est alors la chute !

    Selon une étude réalisée par des chercheurs espagnols, 35% des travailleurs entre 25 et 40 ans devraient ainsi faire face au "syndrome post-vacances", un sentiment général d'inconfort causé par le retour au travail.

    Des symptômes physiques et psychologiques au retour de vacances

    Le plus souvent, cette déprime se traduit par des symptômes physiques tels que la fatigue, le manque d'appétit, les difficultés à se concentrer, la somnolence, l'insomnie, un rythme cardiaque anormalement rapide ou encore des douleurs musculaires diverses.

    Au niveau psychologique, l'ex-vacancier pourra se sentir irritable, anxieux, triste…

    Un sentiment de vide et une attitude "je-m'en-foutiste" sont également des phénomènes courants mais heureusement passagers après le retour des vacances.

    Mis à jour par le 02/08/2013


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  • N’oubliez pas une chose primordiale : votre alimentation est votre premier médicament !
    Si vous mangez n’importe quoi, si vous achetez des tas de plats préparés mal préparés, votre santé en subira les conséquences.
     
    N’avez-vous pas remarqué autour de vous, l’augmentation des cas de maladies cardio-vasculaires, d’obésité, d’hypertension, d’hyperactivité, d’agressivité, de cancers ? A votre avis, c’est dû à quoi ?
     
    Je suis persuadée, comme de nombreux scientifiques dans le monde, que l’alimentation y est pour quelque chose. Alors, maintenant vous savez ce qui vous reste à faire !

    En trente ans, le temps consacré à la préparation d’un repas a diminué de moitié. Aujourd’hui, cuisiner se résume souvent à réchauffer un aliment sorti d’un emballage plastique, d’une conserve ou d’une brique. A une époque où chaque minute compte, les plats prêts à l’emploi connaissent un succès grandissant, et sept français sur dix en consomment régulièrement.
    Trop de chimie dans nos assiettes, le message n'est pas nouveau, un paradoxe incroyable pour des plats pourtant très chers et qui seraient mauvais pour la santé.


    L’enquête, menée par Isabelle Doumenc, démonte et démontre les travers de la filière industrielle des plats préparés qui regorgent de substances chimiques, d’acides gras, de sels surdosés, de sucres en trop grande abondance, et souvent bourrés de colorants, épaississants, conservateurs et bien d’autres surprises encore.
    Au départ, le consommateur pense que ces plats sont totalement sains, équilibrés, avec des qualités nutritionnelles reconnues, en respectant toutes les règles sanitaires. Il existe différents types de plats préparés, frais, surgelés et conserve, mais ils sont montrés du doigt car, 45% de la population française présentent des maladies chroniques, obésité, cancers, pathologies cardio-vasculai­res..., provenant en grande partie de l'alimentation toute industrielle. Même si ce n’est pas le fait de consommer de temps en temps ces plats industriels qui va être facteur de déclenchement de maladies, c’est surtout l’accumulation régulière de cette alimentation principalement chimique qui représente un risque réel pour la santé.


    Au cours de l'enquête, on prend connaissance d’un site, “The Lancet”, qui a listé depuis quelques temps les additifs responsables d’une hyperactivité chez l’enfant de 3 ans et celui des 8 / 9 ans.
    Un docteur nutritionniste intervient dans cette enquête pour mettre en garde le consommateur lorsqu’il y a plus de 3 additifs présents dans ces plats, car il faut savoir que l’on ne connaît pas l’interaction entre chaque additif, aucune méthodologie n’a été mise en place à ce jour, et il existe 300 substances chimiques autorisées rien qu'en France. Cela représente une multitude de combinaisons possibles jamais étudiées.
    Une inquiétude pèse sur les nombreux additifs qui entrent dans la composition de ces produits, même s'ils ne sont pas les seuls responsables du “facteur à risques”. Si certains industriels font des efforts, ces préparations restent souvent trop salées, trop grasses ou trop sucrées. La consommation régulière de ces plats express augmente donc les risques de certaines maladies, dont l’hypertension. Ces produits sont certes autorisés, mais les scientifiques se soucient aujourd’hui de leur effet "cocktail" et se posent des questions sur leurs interactions.


    Pour le consommateur, l’étiquetage complexe reste difficile, voire impossible à déchiffrer. La solution passerait par une vigilance accrue, une meilleure législation en même temps qu’une véritable traçabilité de l’animal élevé, avec l’étiquetage du produit qui devrait être ainsi profondément modifiée pour mieux informer le consommateur, ainsi qu’un retour aux principes simples de son alimentation, cuisiner avec des produits locaux et de saison, ou se tourner vers des produits bio délavés de toutes substances chimiques. Aussi, entre les ingrédients de base achetés en vrac et le prix du plat préparé, non seulement on fait des économies, mais en plus on mange mieux, tout en conservant une bonne santé.

    - Publié dans : Société - Humanité


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