Tu as du mal à sortir de chez toi sansmaquillage ? Tu te sens "nue" sans ton fond de teint, ton blush, ta poudre et ton mascara? 
C'est pourtant une expérience que tu devrais tenter de temps à autre. En effet, laisser sa peau respirer sans maquillage permet d'éviter les pores bouchés (et donc lesboutons).

> La solution belle peau ?
On essaie de faire l'impasse sur lemaquillage au moins deux fois par semaine (le week-end par exemple). 
Pour les accros aux produits de beauté, on s'en tient au minimum vital (un peu de poudre par exemple). Par contre, on n'oublie pas de mettre sa crème hydratante tous les jours afin de protéger sa peau des agressions extérieures (changements de température, soleil, froid, pollution...)

On le sait toutes : la cigarette est très mauvaise pour la santé et pour la peau. Mais les dommages causés (manque d'oxygénation des tissus, destruction du collagène et de l'élastine, teint gris, cernes...) à notre joli minois ne se limitent pas aux seuls fumeurs. En effet,le tabagisme passif peut abîmer notre peau et accélerer l'apparition des rides.

> La solution belle peau ?
On évite les lieux enfumés, on s'éloigne des accros à la nicotine, on se démaquille soigneusement après une soirée où il y a des fumeurs et on se fait aider pour arrêter la cigarette si on fume.

Tu as l'impression que l'aspect de ta peau s'améliore quand tu es bronzée ? Tes boutonsdisparaissent ? Attention, le soleil est un faux ami et il faut s'en méfier, hiver comme été ! 
En effet, les rayons UVB ont tendance à épaissir l'épiderme. Du coup, le sébum (responsable des boutons) reste pris à l'intérieur. Des points noirs et des microkystes se forment et réapparaissent quelques semaines plus tard. Résultat : c'est pire qu'avant. 

De plus, les rayons UV délivrés par le soleil abîment la peau et la font vieillir prématurément.

> La solution belle peau ?
On se protège avec une bonne crème hydratante qui contient un filtre anti-UV toute l'année. Et on n'oublie jamais de se mettre dela crème solaire l'été ou aux sports d'hiver, dès que le soleil tape fort. 
Contrairement aux idées reçues, la crème solaire n'empêche pas de bronzer : elle protège des méchants ultra-violets, nous évitant les vilains coups de soleil et une peau toute fripée plus tard. 
Autre bon réflexe : adopter le chapeau, hyper tendance et génial pour protéger sa peau 

Douleur à l'estomac de l'adulte

• Seul le médecin peut savoir si une douleur à l'estomac est grave ou non. Ayez le bon réflexe devant une douleur qui persiste ou qui présente des signes de gravité.
• On ne doit pas rester indifférent devant une douleur abdominale. Les organes sont complexes et très proches les uns des autres. Quant aux causes, elles sont nombreuses et les conséquences variables : rien à voir entre un ulcère à l'estomac et une gastro-entérite. Pourtant les signes sont parfois si ressemblants, si trompeurs...

• La région de l'estomac comprend de nombreux organes : l'estomac bien sûr, mais aussi le gros intestin (le colon transverse pour être précis) qui passe devant l'estomac. Plus profondément et juste en dessous, dans la région dite du plexus solaire, se trouve le pancréas. Une douleur de cette région peut en fait être un problème de pancréas.
• La vésicule biliaire, elle, est plus à droite, juste sous les côtes, mais la douleur en irradiant vers le centre peut faire penser à une douleur à l'estomac.
• Ce qui fait le caractère particulier de la douleur à l'estomac, c'est que c'est une sorte de crampe douloureuse, parfois sourde, parfois très vive, ou encore une sorte de brûlure tenace. Elle a un rapport avec le fait de manger des aliments. Dans certains cas, la douleur est soulagée par la nourriture, ce qui orientera vers un ulcère à l'estomac, parfois elle sera aggravée, ce qui est souvent le cas dans les gastrites.
• L'horaire également est important : en général la douleur survient entre 2 et 3 heures après le repas.
• Les irradiations : il n'y en a généralement pas : la douleur est fixe, au creux de l'estomac.

Les signes qui doivent vous alerter :

• Des vomissements de sang rouge ou noir : c'est à priori une hémorragie digestive avec des risques importants.
• Constipation et absence d'émission de gaz depuis plus de 24 heures : on peut suspecter une occlusion intestinale sans que l'estomac y soit en fait pour quelque chose.
• Douleur extrêmement violente comme un coup de poignard. Il peut s'agir, de la perforation du duodénum ou de l'estomac, d'une péritonite... bref c'est urgent.
• Les douleurs qui montent dans l'épaule droite et le dos : l'estomac n'y est pour rien, et cela correspond en fait à l'irradiation d'une douleur de colique hépatique due à un problème de vésicule biliaire.
• La douleur ne passe pas : tout est alors envisageable.

Ces signes imposent de consulter un médecin, ce qui n'empêche pas qu'en attendant vous puissiez prendre un antispasmodique pour vous soulager. Les pansements gastriques ont eux aussi une utilité et permettent de soulager la douleur.

D'abord un interrogatoire sur la durée des signes, leur mode de survenue, leur ancienneté. D'où l'intérêt de bien vous rappeler de ce qui s'est passé précisément. Il pratiquera un examen de votre ventre puis un examen général.

Dans la majorité des cas, cela lui permettra d'aboutir au diagnostic. Mais parfois il lui faudra s'appuyer sur des examens complémentaires pour confirmation.

• Numération formule sanguine.
• Vitesse de sédimentation.
• Radio de l'abdomen.
• Échographie.

Parfois des examens plus sophistiqués sont nécessaires :

• Fibroscopie.
• Transit gastrique.
• Coloscopie.
• Scanner.

Ces examens (à part la coloscopie) seront pratiqués le plus souvent en ville, c'est à dire sans qu'une hospitalisation soit nécessaire. Malgré tout, il faut toujours s'attendre à une hospitalisation d'urgence.

Ce qu'il recherche dépend du ou des organes qu'il suspecte être responsable de cette douleur.

Maladies de l'estomac

• Ulcère gastrique ou duodénal.
• Gastrite.
• Hernie hiatale.

Maladies des intestins

• Gastro-entérite.
• Colite spasmodique.
• Toutes les formes de colite.
• Les colopathies.
• Occlusion intestinale.
• Péritonite.

Autres douleurs

• La colique hépatique. Même chose, mais la douleur est en général plus supportable. Responsables de ces douleurs : les voies biliaires, en particulier la vésicule.
• Certains infarctus du myocarde chez la personne âgée peuvent donner des douleurs qui partent de l'estomac et montent dans la poitrine.
• La rupture de rate.
• Les suites d'une coelioscopie : douleur sous les côtes à droite ou à gauche, empêchant de respirer à fond et dû à la présence d'air sous le diaphragme à la suite de l'examen.
• La cholécystite aiguë.
• Les douleurs dues à une hépatite. C'est plus rare car c'est plutôt la fatigue une petite fièvre et une jaunisse qui sont au premier plan.
• La pancréatite.
• L'insuffisance cardiaque droite.
• Chez l'homme jeune, ces douleurs sont très rarement en rapport avec un problème cardiaque. En revanche, chez l'homme âgé, certaines douleurs au creux de l'estomac ou sous les côtes peuvent en fait correspondre à une authentique douleur cardiaque. C'est pourquoi il faut être très vigilant quand une personne est sous traitement pour l'angine de poitrine ou a fait un infarctus du myocarde. Dans ce cas, toute douleur du haut du ventre qui remonte un tant soit peu dans la poitrine mérite d'être montrée à un médecin.
• Maladie périodique.
• La "crise de foie".
• Les courbatures.

La cigarette : un cocktail toxique

La nicotine, responsable de la dépendance
C’est cette drogue, présente dans les feuilles de tabac, qui entraîne la dépendance. Celle-ci se manifeste sous deux formes : dépendance physique expliquant les symptômes de manque à l’arrêt, et dépendance psychique liée à l’habitude et aux sensations ressenties en fumant.

Les goudrons, principaux responsables des cancers
Les goudrons forment un mélange complexe qui se crée à la combustion du tabac. Il comprend de très nombreuses substances, dont la plupart sont cancérigènes. C’est le cas, par exemple, des hydrocarbures tels que le benzène.

L’ammoniac et les additifs, poisons cachés
Les industriels ajoutent diverses substances à leurs cigarettes. Souvent, ces produits se révèlent dangereux. Ainsi, l’ammoniac, utilisé pour augmenter la dépendance en favorisant l’absorption de la nicotine, est un poison pour l’organisme.

La fumée : une usine chimique
La combustion de la cigarette génère de nombreux composés toxiques : la fumée contient 4 000 substances, dont plus de 40 sont cancérigènes. Parmi elles, des gaz toxiques (comme le monoxyde de carbone) et des métaux lourds (mercure, plomb).

Les principaux risques

Cancers
85 % des cancers du poumon (25 000 nouveaux cas chaque année en France) sont dus au tabac. Le risque est également élevé pour les cancers de la bouche, du larynx et du pharynx, des reins et de la vessie.

Maladies respiratoires
Une grande majorité des décès par bronchite chronique sont provoqués par le tabac.

Maladies cardio-vasculaires
Le tabagisme augmente la tension artérielle et le travail du cœur favorisant accidents cardiaques, accidents vasculaires cérébraux, et problèmes vasculaires comme la phlébite ou la thrombose artérielle.

Risques propres à la femme
Le tabac nuit à la fertilité des femmes : le délai de fécondation est plus long chez les fumeuses et la ménopause survient plus tôt. Chez les femmes prenant la pilule, le tabac accroît les risques cardio-vasculaires. Pour les femmes enceintes, le tabac augmente les risques de fausse couche, de naissance prématurée, de faible poids du nouveau-né…

Risques induits lors d’une intervention chirurgicale
Il est fortement recommandé d’arrêter de fumer avant une intervention chirurgicale, idéalement 6 à 8 semaines avant, pour diminuer les risques de complications postopératoires.

Le tabagisme passif
L’Organisation mondiale de la santé a déclaré le tabagisme passif cancérigène. Les personnes exposées à la fumée voient la fréquence des cancers du poumon augmenter de 30 % par rapport à des personnes vivant dans une atmosphère saine. Chez les enfants dont les parents fument, les risques sont réels. Ainsi, les infections rhinopharyngées, les otites et les morts subites du nourrisson sont plus fréquentes.

Comment décrocher ?
Quel que soit votre âge, quel que soit votre passé de fumeur, il est toujours préférable d’arrêter de fumer.

Votre médecin généraliste, un tabacologue ou un centre de sevrage tabagique peuvent vous aider. Le simple fait d’en parler et d’être informé améliore les chances de décrocher. Des patchs et gommes (à base de nicotine) et des comprimés de bupropion (Zyban®) ou de varenicline (Champix®) facilitent également le sevrage. Certains sont partiellement pris en charge par l’Assurance maladie et votre mutuelle.