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    <article class="fig-container fig-article fig-article-has-no-source" itemprop="mainContentOfPage" itemscope="" itemtype="http://schema.org/Article" style="-webkit-tap-highlight-color: rgba(0, 0, 0, 0); margin: 0px auto; padding: 0px; border: 0px; font-size: 10px; font: inherit; vertical-align: baseline; position: relative; clear: both; max-width: 1000px; width: 1000px; -webkit-box-shadow: rgba(50, 50, 50, 0.298039) 0px 3px 5px; box-shadow: rgba(50, 50, 50, 0.298039) 0px 3px 5px; color: rgb(51, 51, 51); font-family: DroidSansRegular, Verdana, sans-serif; line-height: 10px; -webkit-text-size-adjust: none;">

    Paris : le pont des Arts surchargé de «cadenas d'amour»

    <figure class="fig-photo" style="-webkit-tap-highlight-color: rgba(0, 0, 0, 0); margin: 0px; padding: 0px; border: 0px; font-size: 10px; font: inherit; vertical-align: baseline; position: relative; min-height: 100px; background-image: url(http://assets4.lefigaro.fr/assets-img/ajax-loader.gif); background-color: rgb(26, 26, 26); background-position: 50% 50%; background-repeat: no-repeat no-repeat;">La passerelle du Pont des Arts, submergée par les «cadenas d'amour».
     
    <figcaption class="fig-media-legende" itemprop="description" style="-webkit-tap-highlight-color: rgba(0, 0, 0, 0); margin: 0px; padding: 0px; border: 0px; font-size: 10px; font: inherit; vertical-align: baseline; visibility: hidden; position: absolute; bottom: 0px; color: rgb(255, 255, 255); width: 805px; background-image: -webkit-linear-gradient(top, rgba(0, 0, 0, 0) 0px, rgba(0, 0, 0, 0.701961) 30%, rgba(0, 0, 0, 0.901961) 100%);">

     

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    Lancée en 2008 dans la capitale, cette mode pose des problèmes de sécurité face à la prolifération des verrous qui viennent orner les grilles de la construction.

    L'un des lieux du romantisme parisien est menacé...par le<nobr style="-webkit-tap-highlight-color: rgba(0, 0, 0, 0);">poids</nobr> de l'amour. La tradition des amoureux, qui viennent accrocher un cadenas sur les pans grillagés du pont des Artsdans le VIe arrondissement de Paris, s'est intensifiée avec le flux touristique estival. Le couple inscrit généralement ses initiales sur le cadenas avant de jeter la clé dans la Seine. S'il est de plus en plus difficile de trouver de l'espace pour accrocher un «cadenas d'amour» sur les rambardes qui en sont recouvertes, cette tradition romantique fragilise le patrimoine de la ville. Les milliers de cadenas, dont le poids peut atteindre plusieurs tonnes d'après un technicien de la mairie, font plier les grilles qui s'affaissent sous leur poids.

    Régulièrement, les agents de la ville font des inspections afin de surveiller les grilles installées le long de la passerelle de plus de 150 mètres. S'ils constatent qu'un pan de grillage cède, il est démonté puis remplacé provisoirement par une planche de bois, avant qu'une nouvelle grille ne soit installée. Les verrous qui étaient accrochés disparaissent, avant que d'autres ne viennent les remplacer…. «L‘autre problème, ce sont les voleurs qui arrachent les grillages pour récupérer les cadenas et revendre le métal. Les parties restantes sont dangereuses», explique un agent de la ville au figaro.fr. Pour Jean-Pierre Lecoq, maire UMP du VIe arrondissement, «la mairie de Paris doit prendre ses responsabilités. Je n'ai rien contre les amoureux et leurs cadenas, mais cela pose un problème de détérioration et cache la visibilité». Il s'inquiète aussi de la sécurité: «Si un bout du grillage tombe alors qu'un bateau passe en dessous, c'est très dangereux». Retirer les cadenas tous les trois à six mois serait pour lui le moyen d'éviter cette surcharge. L'élu indique qu'il écrira prochainement à la mairie de Paris afin qu'elle prenne une mesure pour contrer ce phénomène.

    La mairie refuse cependant d'interdire cette pratique. Les cadenas ont déjà été menacés d'enlèvement en 2012, mais la portée symbolique d'une telle décision risquerait d'entacher l'image touristique de la capitale. Samedi, un faux arrêté interdisant de poser des cadenas a été placardé sur les grilles de la passerelle. Mais la mairie et la préfecture assurent ne pas avoir connaissance de ces affichettes; les «cadenas d'amour» auraient donc des détracteurs anonymes. D'autres ponts, comme celui de l'Archevêché près de Notre-Dame ou la Passerelle Léopold-Sédar-Senghor, attirent aussi les couples désireux d'immortaliser leur amour.



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  • Le plus gros chat du monde : Découvrez Skinny en images (galerie)

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    Skinny est un chat américain né en 2007 qui a la particularité d’être le plus gros chat du monde. Et pour cause, il pèse plus de 20 kilos ! Découvrez-le en images.

    Né en 2007, le plus gros chat du monde s’appelle Skinny, qui veut dire littéralement le maigrichon. Un nom plutôt malvenu puisque l’animal pèse plus de 20 kilogrammes ! Retrouvé en septembre dernier errant dans une rue du Texas, aux Etats-Unis, il a été confié  quelques jours plus tard au Richardson Animal Shelter, une association notamment spécialisée dans les animaux en surpoids.
    Pour Noura Jammal, une assistante au Richardson Animal Shelter, Skinny est "un chat adorable. Il aime quand on lui caresse le ventre, mais il a besoin de faire un régime, et des exercices. Il devra aussi consulter un vétérinaire régulièrement." A titre de comparaison, 20 kilogrammes pour un chat équivaut 300 kilogrammes pour un Homme. Autant dire qu’il rivalise avec le chien le plus grand du monde dans la catégorie des records étonnants !
    (Source : Yahoo)
    Cliquez sur une image pour l’agrandir et voir le diaporama


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  • Redoine Faïd : les coulisses d'une cavale

    Porteur d'une perruque, le braqueur chauve était planqué depuis au moins quatre jours dans un hôtel de Pontault-Combault où il a été interpellé avec un jeune complice. La police pense que le fugitif, sans argent, cherchait à monter un dernier coup avant de quitter la pays.

     

    Redoine Faïd a été cueilli en plein sommeil. Peu avant 3 heures du matin, au beau milieu de la nuit, les hommes de la Brigade nationale de recherche des fugitifs (BNRF), appuyés par leurs collègues de l'antigang, ont encerclé l'hôtel de Pontault-Combault (Seine-et-Marne) avant de passer à l'action. «Pris de stupeur, il s'est affalé sans offrir la moindre résistance, sans dire un mot, ni prendre l'arme de poing qu'il avait à portée de main», confie au Figaro un haut responsable de la Direction centrale de la police judiciaire. Selon nos informations, le braqueur de fourgon y était retranché depuis au «moins trois ou quatre jours» avec un jeune complice, lui aussi placé en garde à vue. Ce dernier, voyou de modeste envergure, n'avait jusqu'alors jamais été vu gravitant dans le sillage de Faïd.

    Planté aux abords de la Francilienne dans une zone industrielle, l'hôtel de celui qui a été présenté comme l'ennemi public numéro 1 se trouve à quinze kilomètres à peine de Villiers-sur-Marne (Val-de-Marne), où il est soupçonné d'avoir participé à la fusillade qui a coûté la vie à Aurélie Fouquet, fauchée par des tirs de kalachnikov en mai 2010 sur l'A4.

    « Même sa mère n'aurait pas pu le reconnaître »

    Un policier

    Pour brouiller les pistes, le fugitif qui s'était enfui de la maison d'arrêt de Séquedin (Nord), notamment en faisant sauter une porte blindée à l‘explosif, portait une perruque pour masquer sa calvitie très reconnaissable mais aussi des lunettes et il s'était laissé pousser un début de barbe. «Même sa mère n'aurait pas pu le reconnaître», affirme un policier. Lors d'une précédente cavale, Faïd, caïd de banlieue devenu virtuose de la dissimulation, avait pu fuir il y a quelques années jusqu'en Israël où il se promenait avec la kippa.

    <figure class="fig-photo fig-media-full"> infographie budget defense france</figure>

    «Recherché depuis six semaines, il était en mode survie, observe un responsable de l'enquête. Il savait que tous les polices de France et de Navarre qui se respectent étaient à ses trousses, que des indics pouvaient le balancer à tout moment, qu'il était susceptible d'être reconnu par un chauffeur de taxi, un hôtelier ou un passant. Ou encore qu'il pouvait être trahi par un imprudent coup de fil…» Une source proche du dossier précise, sans que la police ne le confirme, qu'il aurait justement été repéré en région parisienne après avoir téléphoné à un proche.

    Depuis sa spectaculaire évasion, Redoine Faïd n'a semble-t-il pas été immobile, changeant régulièrement de «planque». «A l'évidence, il a beaucoup circulé pendant six semaines», a dit Manuel Valls sur i-Télé.

    Des armes de poing retrouvées

    «Depuis le début de l'affaire, nous disposions de multiples «tuyaux» le signalant dans le monde entier», confie-t-on à la DCPJ. On nous disait l'avoir vu aux Philippines, en Algérie, au Maroc, aux Pays-Bas, en Belgique et même en France dans la région de Bordeaux.» Autant de fausses rumeurs qui, une fois éliminées, ont permis aux policiers de se concentrer depuis plusieurs jours sur le secteur de la région parisienne où «quelques bons signaux» avaient été interceptés.

    Dans la plus grande discrétion et avec méthode, la vingtaine de limiers de la «brigade des fugitifs» a méticuleusement passé au crible «les hôtels et divers points de chutes du caïd, mais aussi la famille, les amis et les amis d'amis» pour faire tomber le braqueur dans leurs filets. «Soit un type en cavale dispose d'emblée d'un magot pour mettre au plus vite trois frontières entre lui et la police, soit il doit se reconstituer une santé financière», décrypte un commissaire. Nous n'excluons pas que Redoine Faïd était en train de préparer un nouveau braquage, peut-être monter une attaque de fourgon avant de quitter le pays.» Lors des perquisitions menées dans la nuit de mardi à mercredi, les enquêteurs de l'Office central de lutte contre la criminalité organisée (Oclco) ont retrouvé au moins deux pistolets ou revolvers de 9 millimètres.

    Pendant la garde à vue, les policiers vont tenter de déterminer si le complice qui a accompagné Faïd dans sa cavale faisait aussi parti du mystérieux gang qui lui a permis de s'extraire de ses geôles à Sequedin. Au dernier stade des investigations, rien n'indiquait que l'évasion et la cavale aient bénéficié de la même logistique.


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    Des centaines de rescapés du pire accident industriel au Bangladesh bloquaient mardi un accès routier central pour réclamer arriérés de salaires et dédommagements tandis que le bilan de l’effondrement de l’immeuble textile dépassait désormais les 700 morts.

    Cet immeuble, le Rana Plaza, situé dans la banlieue de Dacca, abritait cinq ateliers de confection. Lorsqu’il s’est effondré comme un château de cartes le 24 avril, plus de 3.000 ouvriers étaient au travail alors que des fissures avaient été constatées la veille sur le bâtiment.

    La plupart des ouvriers travaillant pour des marques occidentales d’habillement, telles que le britannique Primark et l’espagnol Mango, étaient payés moins de 30 euros par mois, un niveau de rémunération dénoncé publiquement par le pape François.

    Avec l’arrêt brutal de leur travail, les rescapés du drame demandent maintenant aux propriétaires des ateliers de confection de leur verser de l’argent, correspondant à la fois à leurs salaires et à des dommages et intérêts pour les blessures physiques subies lors de l’effondrement du Rana Plaza.

    Selon la police, environ 400 survivants ont bloqué mardi un accès routier reliant Dacca au sud et sud-ouest du pays en organisant un sit-in.

    Les ouvriers scandaient des slogans réclamant «les salaires impayés et des dédommagements», a indiqué à l’AFP un responsable de la police locale, M. Asaduzzaman.

    Sur les lieux du drame, l’armée continuait de déblayer les tonnes de béton et de gravats, qui faisaient penser aux conséquences d’un puissant séisme.

    Selon un membre de l’armée chargée de coordonner les secours, le capitaine Shahid Ahsan Bhuiyan, «le bilan s’élève désormais à 705 morts», après un précédent bilan de 654 morts fourni lundi.

    Selon les autorités, 2.437 personnes ont été secourues saines et sauves.

    Un responsable de l’enquête a assuré que des vibrations dues notamment à de gros générateurs sont à l’origine de l’effondrement du Rana Plaza, qui était déjà très fragilisé selon des témoignages.

    Une douzaine de personnes ont été arrêtée dans le cadre de l’enquête, dont le propriétaire de l’immeuble et les propriétaires des ateliers de confection.

    Selon des responsables des secours, certains corps extraits des décombres n’avaient plus tous leurs membres, d’autres étaient retrouvés dans des états de décomposition avancés, rendant leur identification difficile.

    Les autorités ont toutefois pu identifier certaines victimes grâce à leurs téléphones portables retrouvés dans leurs poches ou à leurs badges de travail.

    L’odeur nauséabonde se dégageant des ruines obligeaient les secours à porter des masques et à utiliser des désodorisants.

    Craignant que les marques occidentales se détournent de leurs fournisseurs bangladais, le gouvernement a annoncé lundi la mise en place d’une nouvelle commission d’enquête censée inspecter les milliers d’usines textiles à la recherche d’éventuels défauts de construction.

    Le gouvernement avait fait une annonce similaire après un incendie dans une usine textile près de Dacca en novembre dernier, qui avait déjà fait 111 morts. Mais les inspections avaient été jugées nettement insuffisantes pour faire progresser les conditions de sécurité déplorables dans ce secteur industriel.

    Le Bangladesh est le deuxième pays exportateur de textile au monde, après la Chine. Cette industrie représente plus de 40% de la main d’oeuvre du pays et 80% de ses exportations.


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