• Messages Joyeuses Fêtes à ses amis
    Les vœux de fin d'année sont comme des mots d'amour et d'amitié envoyé à ce que l'on aime et qui compte vraiment pour nous! Mes amis par ce message de vœux de bonnes fêtes je souhaite que vos souhaits se réalisent et vous comblent de bonheur! Je vous aime.. Votre ami sincère.

    bonne fetes de fin d année

     

    bonne fetes de fin d année


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  • paradis terreste

    paradis terreste


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  • 23/06/2017

     

    Chaque mois, un groupe d'experts de Météo-France et de Mercator Ocean (le centre français d'analyses et de prévisions océaniques) élabore des prévisions pour les trois mois à venir. Contrairement aux prévisions classiques qui donnent des informations détaillées et locales pour les jours à venir, les prévisions saisonnières permettent, au mieux, de dégager une tendance générale à l'échelle de l'Europe de l'Ouest sur le trimestre qui suit (plus ou moins chaud, ou plus ou moins humide que la normale).
     

    Vers un été probablement plus chaud que la normale

    Ce mois-ci, les modèles de prévision saisonnière ne détectent aucune anomalie particulière sur l'Europe pour le climat de l'été 2017, hormis, sur les températures, la tendance de fond liée au réchauffement climatique. Pour l'été météorologique à venir (juin-juillet-août), la probabilité d'observer des températures plus élevées que la normale* concerne pratiquement tout le continent. Cette probabilité est plus forte pour le sud de l'Europe et le pourtour méditerranéen. Pour le nord-est de l'Europe et la Russie, aucun scénario majoritaire ne ressort des simulations.
     

    Prévisions saisonnières probabilistes de températures pour juin, juillet et août 2017 sur l'Europe
    (Cliquer sur la carte pour l'agrandir)

      Aucune tendance sur l'Europe ne se dégage en revanche pour les précipitations pour les 3 mois à venir.   Pour en savoir plus, consultez le dernier bulletin complet de prévision saisonnière.
     

    Des épisodes de fortes chaleurs cet été ? 

    Les prévisions saisonnières ne permettent pas de prévoir des canicules, d'une durée de quelques jours à quelques semaines. Ces épisodes peuvent être prévus, mais seulement quelques jours à l'avance, par la prévision météorologique "classique". La prévision saisonnière ne permet pas de prévoir la survenue ni l'intensité d'une séquence particulière d'une à deux semaines au cours de ces 3 mois.    * par rapport à la période de référence 1981-2010


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    Ingrédients (pour 6 personnes) : Pour le biscuit :

    - 3 oeufs

    - 60 g de sucre

    - 60 g de farine

    - 5.5 g de levure

     

    Pour la crème à fourrer :

    - 100 g de crème de marrons (en boîte)

    - 30 g de beurre

    - 1 cuillère à soupe de rhum

     

    Pour la crème au beurre:

    - 1 jaune d'oeuf

    - 40 g de sucre

    - 100 g de beurre

    - 50 g de chocolat fondant

     

    Pour le décor :

    - 60 g de chocolat fondant

    - 1 cuillère à soupe de sucre glace

    Buche  de noël au marron

     

    Préparation de la recette :

     

    Préchauffer votre four à 180°C (thermostat 6).

    Dans une terrine, battre les jaunes d’oeufs avec le sucre à l’aide d’un fouet électrique, jusqu’à ce que le mélange devienne mousseux.

    Incorporer ensuite la farine, puis les blancs montés en neige très ferme et enfin la levure.

    Tapisser la plaque à pâtisserie de votre four de papier sulfurisé beurré, puis y verser la pâte lisse et homogène au centre.

    L’étaler de façon à ce qu’elle forme un rectangle de 0,5 cm d’épaisseur.

    Enfourner à four chaud, puis laisser cuire 10 min.

    Une fois le biscuit cuit, le renverser avec la feuille de papier aluminium, puis la retirer et rouler le biscuit sur lui-même.

    L’envelopper d’un linge propre humide afin de garder son moelleux.

    Pendant que le biscuit refroidit, préparer la crème à fourrer en mélanger dans une terrine, la crème de marrons avec le beurre et le rhum jusqu’à ce que la crème soit homogène.

    Lorsque le biscuit est totalement froid, le dérouler, puis le recouvrir de crème aux marrons.

    Rouler de nouveau le biscuit, puis couper les 2 extrémités en biseau.

    Préparer ensuite la crème au beurre :

    Sortir le beurre du réfrigérateur suffisamment tôt de façon à ce qu’il soit bien ramolli.

    Travailler les jaunes d’oeufs avec le sucre dans un bain-marie, jusqu’à ce que le mélange soit mousseux.

    Incorporer ensuite le beurre en morceaux, puis le chocolat préalablement fondu au bain-marie.

    Mélanger délicatement cette crème au beurre, puis en tartiner le biscuit roulé et façonner des striures à l’aide d’une fourchette.

    Faire ensuite des copeaux de chocolat à l’aide d’un économe.

    Parsemer le dessus de la bûche de copeaux de chocolat, puis saupoudrer de sucre glace.

    Replacer la bûche au réfrigérateur avant de servir et déguster.


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    Drapeaux en berne à Nice, le 16 juillet.

    La violence aveugle a encore frappé en France, à Nice. Tant de victimes qui n’ont eu qu’un tort, se trouver au mauvais endroit au mauvais moment. Alors que l’enquête ne fait que débuter, qu’aucune explication crédible n’est démontrée, le bal des vautours médiatiques et politiques s’est ouvert en grande pompe.

    J’ai tenu cinq minutes devant une chaîne d’information en continu.

    Des pseudos experts se bousculaient déjà à l’antenne alors que je décelais une excitation malsaine de la part des journalistes en plateau. Lors de la finale de l’Euro de football, les 30 secondes de publicité à la mi-temps coûtaient 260 000 euros. Pour les terroristes, la publicité est gratuite, elle est offerte par les médias et la classe politique. Le Président de la République a qualifié l’acte de terrorisme islamique quelques heures après le drame et plus de trente heures avant les premiers éléments sur la « radicalisation très rapide » de l’auteur de l’attentat dévoilés par son ministre de l’intérieur. Est-ce la sérénité que l’on est en droit d’attendre d’un chef d’Etat ? C’est le temps de la compassion pour les victimes avant tout. Répandre la peur, c’est le boulot des terroristes, pas des hommes d’Etat ni des médias.

    La peur est devenue un business

    Sur les plateaux s’empilent les supputations, se succèdent les experts de la guerre et de la peur alors que le monde a cruellement besoin d’experts de la paix. Les témoignages diffusés à l’antenne ainsi que les images confinent bien plus au voyeurisme qu’au devoir d’informer. Ce n’est plus de l’information, c’est de la mise en scène. Dans de telles circonstances, le devoir d’informer impliquerait de reléguer au second plan l’obsession de l’audimat. Il faut croire que les terroristes savent mieux profiter de nos faiblesses que nous des leurs.

    Lire aussi : L’opération « Barkhane », un « permis de tuer au Sahel »

    La peur est devenue un formidable business. Les médias s’en donnent à cœur joie, les experts fleurissent, les politiques se prennent pour des chefs de guerre. L’hystérie a gagné notre République. Pas un homme ou une femme politique pour penser le monde différemment.

    Affleurent à chaque propos la loi du Talion, la loi de l’instinct animal, celui de la vengeance. Gandhi disait qu’à appliquer la loi de l’œil pour œil, l’humanité finira aveugle. Elle l’est devenue. Nous n’offrons plus que la guerre comme réponse. La même réponse que les terroristes.

    Combattre le terrorisme par l’éducation

    Le moine bouddhiste vietnamien Thich Nhat Hanh, dans son remarquable livre Apaiser l’esprit face à la violence, nous montre la voie : « les racines du terrorisme sont l’incompréhension, la peur, la colère et la haine, et les militaires ne peuvent pas les repérer. Les missiles et les bombes ne peuvent pas les atteindre et encore moins les détruire ». Lorsque la Pakistanaise Malala, prix de Nobel de la Paix à 17 ans et rescapée des Taliban, a rencontré Barack Obama, elle lui a dit une chose : arrêtez de combattre le terrorisme par la guerre et faites-le par l’éducation et l’instruction.

    Lire aussi : « Monsieur le Président, vous êtes tombé dans le piège ! »

    Nous autres Occidentaux prétendons diffuser des valeurs universelles au monde mais la réalité est que nous avons une culture de la guerre profondément ancrée en nous. C’est la réflexion que je me suis faite lors du défilé du 14 juillet. 80 % du défilé est consacré à la guerre. Le 14 juillet est la fête de la nation. Si les forces armées méritent la reconnaissance de notre pays, elles ne peuvent pas à elles seules le symboliser. Pourquoi, en plus des sapeurs-pompiers, policiers et gendarmes, ne pas faire défiler des médecins, des professeurs, des infirmiers et infirmières, des assistantes sociales, des éboueurs, des jeunes, des personnes en situation de handicap et j’en passe ?

    Je vous épargne aussi le côté totalement monarchique de la mise en scène dudit défilé, François Hollande étant le seul dans la tribune à avoir un fauteuil quand tous les autres officiels n’ont droit qu’à une chaise…

    Quels efforts pour la paix ?

    Repenser notre rapport au monde, voilà l’urgence. Mandela rappelait que les oppresseurs et les opprimés avaient un point commun : ils étaient tous privés de leur humanité. Les victimes et les terroristes sont dans le même cas. Il est vrai que regarder le monde ainsi nécessite de l’audace, beaucoup d’audace. Quand on a pour seul cap les sondages et l’audimat, alors la démagogie et le sensationnel paraissent de bien meilleurs alliés. Cette hystérie médiatico-politique diffuse la peur dans tout le pays. On peut se demander dans quelle mesure cette hystérie ne contribue pas non plus au passage à l’acte. Il serait utile de faire une pause après de tels événements pour que les médias et les politiques réfléchissent à leurs actions et discours comme antidotes à la violence. Aujourd’hui ils ne sont pas un remède mais une formidable caisse de résonance surfant sur les émotions.

    Lire aussi : En Afrique, la France déçoit

    Si la riposte sécuritaire est incontestablement une partie de la réponse, elle ne peut pas être mise en scène ainsi ni promue comme le cœur de l’action politique. C’est d’abord ignorer les leçons d’Afghanistan, d’Irak et de Syrie, mais ce n’est surtout pas digne de la vieille Europe qui par la voix de Dominique de Villepin en 2003 rappelait à la tribune des Nations Unies que si « l’option de la guerre peut apparaître a priori la plus rapide, n’oublions pas qu’après avoir gagné la guerre il faut construire la paix ».

    La France a envoyé 5 000 soldats au Mali pour faire la guerre et combien de personnes pour faire la paix ? Une seule, un diplomate de renfort à l’ambassade de France… On est capable de consacrer des milliards à la guerre, des années d’opérations militaires à travers le monde mais sommes-nous capables de ces mêmes efforts pour la paix ? Il est vrai que construire la paix nécessite discrétion, humilité, persévérance et tolérance. Des qualités que je cherche toujours au sein de la classe politique française.

    Laurent Bigot est un ancien diplomate français devenu consultant indépendant.


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