• EXCLU - Coup de gueule de Michèle Bernier: "On a 25 chaines TNT qui ne produisent que de la télé-réalité. C'est inintéressant !"


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    Ce matin sur Europe 1, dans "Le Grand direct des médias" de Jean-Marc Morandini, Michèle Bernier a poussé un gros coup de gueule contre les chaînes de la TNT qui "ne produisent que de la télé réalité".

    "Le problème, c'est que je trouve terrible dans ce pays, on a très peu de diffuseurs!

    25 chaînes qui ne produisent rien, que de la télé-réalité, des programmes inintéressants au possible, ils dépensent de l'argent pour des choses sans intérêt, qui ne sont pas de la création", a-t-elle fustigé.

    Et de poursuivre: "Aujourd'hui, il y a beaucoup de scénaristes, beaucoup d'acteurs, des réalisateurs, à qui on pourrait faire des tests parce que ça coûterait moins cher."

    Michèle Bernier ne décolère pas concernant la télé-réalité:

    "Le prolème il est là, on engage qui dans ces télé-réalité? Personne! Que des gens qui sont contents de passer à la télé. Aujourd'hui, la difficulté, c'est qu'on arrive pas à être diffusés sur beaucoup de chaînes, on est très serrés, c'est un pays comme la France, mince !"

    Et de conclure:

    "Tout le monde se bat pour essayer de travailler, c'est incroyable qu'on soit dans un tel entonnoir, alors qu'on est dans un pays comme le nôtre, où on sait que la création est importante. Madame Filippetti le dit, la culture est importante, ça ramène de l'argent et du travail!"


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  • <section class="grid-620 d-inline" id="content-list-top">

    Facebook, un virus qui perdra 80% de ses utilisateurs d'ici à 2017 ?


    le 22 janvier 2014 à 23h21 , mis à jour le 23 janvier 2014 à 11h13.
    </section><section class="grid-200 fleft" id="content-list-left"><aside class="sz12 tag c1 aside166896 ombre1">réseaux sociaux , facebook , myspace</aside> </section> High-TechUne étude menée par des étudiants de Princeton assure que Facebook va perdre de plus en plus d'utilisateurs dans les mois et les années à venir et compare le futur déclin du réseau social à celui de MySpace.

    Facebook n'est guère qu'une maladie infectieuse, finalement en voie de disparition, et pourrait perdre 80% de ses utilisateurs d'ici à 2017, à en croire une étude menée par deux étudiants en doctorat de la prestigieuse université américaine de Princeton. Ces deux aspirants docteurs en ingénierie mécanique et aérospatiale sont arrivés à ces conclusions dans une étude publiée en ligne, en cours d'évaluation par leurs pairs avant publication officielle.
     
    Se basant sur la progression, puis la chute de MySpace, précurseur de Facebook, John Cannarella et Joshua Spechlere affirment que le réseau social le plus important du monde, qui regroupe plus d'1,1 milliard d'usagers et fêtera le mois prochain ses dix ans d'existence, se dirige vers une chute brutale. "Il a été montré que les idées, comme les maladies, se propagent de manière infectieuse entre les gens, avant de mourir, et cela a été décrit avec succès par les modèles épidémiologiques", ont écrit ces chercheurs.
     
    Un déclin rapide dans les années à venir
     
    Ils ont appliqué un modèle épidémiologique modifié pour décrire la dynamique des utilisateurs des réseaux sociaux, se servant de données Google qui sont du domaine public. Et ils sont arrivés à la conclusion que Facebook, dont l'action a atteint un record mardi à 58,51 dollars, avait atteint son sommet en 2012, et allait "connaître un déclin rapide", corroborant des études selon lesquelles les plus jeunes usagers avaient commencé à quitter le réseau social en 2013.
     
    "Facebook devrait connaître un déclin rapide dans les années à venir, diminuant de 20% de sa taille maximale d'ici à décembre 2014", écrivent les deux auteurs de l'étude, qui estiment aussi que le réseau social devrait perdre "80% de sa base d'utilisateurs maximale entre 2015 et 2017". Jusqu'à présent, le réseau semble en bonne santé, et l'augmentation du prix des actions Facebook a fait de Sheryl Sandberg, sa directrice des opérations, une milliardaire. Mark Zuckerberg, 29 ans, son créateur et PDG, a lui une fortune estimée à 19 milliards de dollars.


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  • L’électromyogramme

    L’électromyogramme (EMG) est un examen mal connu du grand public. Il s’agit cependant un examen précieux pour l’étude du système nerveux périphérique. Il permet en particulier de repérer le siège des lésions sur le trajet d’un nerf, d’appréhender leur importance et d’en évaluer le pronostic.

     

    Lorsqu’une personne présente des paresthésies, c’est-à-dire des engourdissements, picotements, baisses de la sensibilité dans une main par exemple. Cela signe un problème sur un nerf. Mais à quel endroit se trouve la lésion : au poignet ? au coude ? à l’aisselle ? au cou ? dans la moelle épinière ? ou encore au cerveau ? Il est impossible d’en avoir la certitude, même si quelquefois l’examen de la personne oriente vers une région particulière. L’électromyogramme (EMG) fournira le renseignement avec exactitude.

    EMG

    Pour réaliser cela l’EMG va étudier la conduction du ou des différents nerfs pouvant être responsables ainsi que la contraction musculaire.

    L’examen proprement dit ne nécessite pas de préparation particulière ni avant, ni après sa réalisation. Il est simplement recommander d’éviter l’usage de pommade ou de crème pouvant fausser les résultats de l’examen. L’EMG est un examen bien supporté qui n’est pas douloureux (il n’y a pas besoin d’anesthésie) bien que n’étant pas toujours agréablement ressenti. De rares hématomes peuvent se produire quelquefois. C’est pourquoi la prise d’anticoagulant peut constituer la seule contre-indication…
    mais elle est tout de même très relative. L’EMG est réalisé par un neurologue ou un rhumatologue dans son cabinet ou dans un hôpital. Il faut en moyenne de 30 à 60 minutes pour réaliser un EMG selon l’étendue des lésions à rechercher.

    Pendant l’examen, la personne est allongée et des électrodes sont fixées successivement sur les zones à étudier. Des impulsions électriques brèves sont envoyées dans les fines aiguilles (à usage unique) où se trouvent fixés des électrodes, afin d’en étudier la transmission sur le nerf et les répercussions sur les muscles à distance.

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    L’examen se déroule en deux temps :

    • L’exploration nerveusequi étudie la conduction des différents nerfs, d’abord des nerfs moteurs (responsables de contraction musculaire) puis des nerfs sensitifs (responsables de la sensibilité). Pour cela, de brèves impulsions électriques (0,2 secondes) sont envoyées au nerf au travers des électrodes. La contraction musculaire ou la sensation sensitive induite permettra de mesurer le temps de latence (temps mis par l’impulsion pour arriver au muscle) la vitesse de conduction du nerf et l’amplitude de la réponse (importance des fibres nerveuses excitées) grâce à d’autres électrodes posées sur la peau.
    • L’exploration musculairequi étudie un muscle déterminé, d’abord au repos puis en contraction volontaire, grâce une aiguille-électrode enfoncée légèrement dans le muscle et reliée à l’appareil d’EMG. Chaque muscle étant innervé par un nerf particulier, les anomalies observées permettent d’en déduire l’importance de son atteinte.

    Ainsi, selon les troubles présentés, l’EMG s’intéressera à des régions du corps différentes : jambes, bras, mains, etc. Il n’existe donc pas d’examen standard. L’EMG est indiqué lors que l'on suspecte une atteinte de nerf ou de muscle. Il permet d’éliminer les origines psychogènes des troubles, mais aussi de déterminer l’origine physique du problème :

    • atteinte du système nerveux central : encéphale et moelle épinière.
    • atteinte du système nerveux périphérique : nerf.
    • atteinte des muscles.
    • trouble de la conduction neuromusculaire.

    Cet examen est particulièrement intéressant pour le diagnostic des myasthénies (fatigue musculaire), des myalgies (douleur musculaire), des compressions nerveuses et de certaines lésions de la moelle épinière. 

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    Au total :

    Les résultats des EMG présentent les valeurs obtenues en comparant les deux côtés successivement par exemple aux épaules, puis aux coudes et enfin aux poignets. Cette présentation permet une lecture comparative aisée et rapide.

    Le médecin regardera d’abord s’il existe une différence entre les résultats obtenus du côté droit et du côté gauche concernant la vitesse de conduction et/ou l’amplitude du potentiel. Il notera ensuite la localisation où débute l’anomalie. Comme un ralentissement ou une baisse d’amplitude du signal du nerf médian au niveau du canal carpien ou du nerf cubital au niveau du coude… indiquera que le nerf est comprimé à ce niveau. On parle alors de mono-neuropathie.

    Si tout est bien symétrique, le médecin analysera l’amplitude des réactions nerveuses et musculaires. Une atteinte distale et symétrique, surtout sensitive des quatre membres évoquera une polyneuropathie… alors qu’une atteinte à la fois distale et proximale signera une polyradiculonévrite.

    Enfin les vitesses de conduction ralenties évoqueront une atteinte des gaines de myéline (lésion démyélinisante), qui sont les gaines protectrices entourant les nerfs.

     

    Luc Bodin


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  • Les Français jugent la société minée par l'individualisme

    Les Français ont une image très négative de la cohésion sociale dans leur pays, selon une étude du Credoc publiée lundi.

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    La cohésion sociale mise à mal. Huit Français sur dix considèrent que celle-ci est défaillante dans le pays et qu'elle est minée par des comportements individualistes, selon une enquête du Centre de recherche pour l'étude et l'observation des conditions de vie (Credoc)* publiée lundi. «Le sentiment de vivre dans une société fragmentée, divisée, ne se dément pas depuis trois ans», précise l'étude.

    Aux yeux des personnes sondées, l'individualisme apparaît comme le premier obstacle fragilisant la cohésion sociale (32%), devant les discriminations (16%), le chômage (14%) et la pauvreté (11%). Au sujet des discriminations, l'étude révèle que près d'une personne sur deux a été le témoin d'un comportement de ce type au cours des douze derniers mois. Mais c'est malgré tout le chômage qui reste la principale préoccupation des Français: début 2013, une personne sur deux cite ce problème comme l'un des deux sujets qui la soucient le plus.

    Sentiment de défaitisme

    Le sentiment d'être en butte à des services publics inéquitables et impersonnels joue aussi dans le sentiment de vivre dans une société désunie. Ainsi, une très grande majorité de Français (71%) regrette le manque de personnalisation des services publics et les inégalités de traitement selon les citoyens (67%).

    Enfin, la dureté de la crise et sa prolongation dans le temps ont tendance à amplifier un sentiment d'impuissance et de défaitisme. L'importance accordée à la solidarité, à la lutte contre les inégalités, s'amenuise du même coup, révèle le rapport, qui observe une «fatigue de la compassion» à l'égard des plus démunis.

    *L'enquête a été réalisée en «face à face», entre le 15 décembre 2012 et le 15 février 2013, auprès d'un échantillon représentatif de 2009 personnes, âgées de 18 ans et plus, sélectionnées selon la méthode des quotas.


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    Ingrédients

    • 4   endives
    • 4   tranches de jambon blanc
    • 50 g de beurre
    • 1 cuillère à soupe de crème fraîche
    • 50 g de farine de blé
    • 125 g de gruyère râpé
    • 75 cl de lait
    • Sel, poivre

    Préparez les endives. Coupez la base avec un couteau. Lavez-les.

    Laissez-les entières et faites-les cuire dans une cocotte minute 8 minutes ,

    ou un cuit  vapeur pendant 30 minutes

      Faites-les égoutter sur du papier absorbant.

    Faites chauffer le four . pendant 10 minutes à (200°).
    Dans une casserole, faites fondre les 50 g de beurre.

    Ajoutez la farine et remuez à la spatule jusqu'à l'obtention d'une pâte brun clair.

    Attention de ne pas laisser brûler !

    Hors du feu, ajoutez petit à petit le lait en remuant vigoureusement

    à l'aide d'un fouet pour éviter les grumeaux.

    Remettez sur le feu et continuez ainsi tout en remuant jusqu'à ce

    que le liquide épaississe.

    Ajoutez la crème, salez et poivrez.

    Coupez le feu quand la béchamel a épaissi et a pris un aspect crèmeux.

    Roulez les endives dans les tranches de jambon,

    disposez-les dans un plat à gratin et recouvrez de béchamel.

    Parsemez de gruyère râpé.

    Mettez à cuire au four pendant 20 minutes.


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